l'histoire de altahir
4 participants
Page 1 sur 1
l''histoire de altahir
Bonjour
Pour ceux qui me connaissaient avant, je m’appelais Jan Pool Gortier, p’tit tailleur de l’Alliance. J’avais une échoppe dans le quartier commerçant de la vielle ville de Hurlevent, elle n’était pas bien grande mais me suffisait à payer la dîme à notre Roy « Varian Wrynn le bien aimer ».
Et puis un jour, j’ai vu débarquer dans mon échoppe, deux aventuriers bien mal attifé, toutes armes dehors et beuglant comme des Taurens en rut, et avec un langage hoo, que n’ose point vous relater, et par ma foi saoul comme cochon. Il me sembla qu’ils sortaient tout de go de la taverne du Cochon Siffleur, j’en veux pour preuve cette odeur nauséabonde de bourbon et d’hydromel qui empestait à chaque fois qu’ils ouvraient la bouche.
L’un était petit et costaud portant le nom de «Torgadon » mais à son allure on aurais dit qu’il était né dans un tonneau, un paladin, avec une armure rouillée par endroit, que l’on eut dit qu’il eut fallut un ouvre boite pour l’en sortir, il avait même un épée qui était plus grande que lui.
Quand à l’autre un chevalier de la mord du nom de «Bâm » plus large que grand dans son armure rutilante de guerrier, il m’a semblé qu’il nous venait du nord avec son accent très prononcé et sa voix froide et caverneuse, qu’on aurait dit qu’il était né dans un cimetière.
Le plus petit me dit d’un air renfrogné :
- « hola maître cousette, d’un tabard nous avons besoin, mais attention à prendre soins de bien y mettre les deux chopes que mon compère et moi-même avons en mains, sinon je ne donne point cher de tes abats et sers nous ta meilleur bière »
Quand à l’autre il m’a parlé mais n’es rien compris. Est-ce son accent, sa langue, ou je ne sais quoi, vu qu’il grommelait sans cesse des choses dont je ne comprenais pas le sens, et si comprises je n’oserais pas vous répéter.
Mes seigneurs de bière je n’ai point, mais du lait de chèvre au Tabasco, que mon ami Drakorne m’a ramené des îles lointaines de Brumes Sang. A ces mots leur rages se fit sentir et ils devinrent tout deux si menaçant que je du m’exécuter sur le champ, laissant mon travail en cour, et prenant mes aiguilles je me mis a l’ouvrage. Pendant ce temps nos deux compères étaient repartis boire quelques pintes à l’auberge du Cochon Siffleur, et sûrement par la même draguer la fille de notre aubergiste, la belle rouquine Elly Langston, dont notre nabot avait parlé.
Quand ils revinrent, plus saoul que jamais, j’ai eu du mal à les comprendre tant les phases étaient ponctuées de « she et hips ». La peur au ventre et après plusieurs lampées de lait de chèvre Tabasco, je leurs présentais donc mon travail, ils se regardèrent et avec un petit sourire bien malicieux me dire :
- « Maître cousette votre travail nous plait, nous allons faire diligence auprès de nos maîtresses, nous souhaiterions que vous nous suiviez, nous avons besoin d’un artisan de votre valeur au sein de notre guilde, mais de grâce changer ce nom, nous ne sommes pas des tafioles. »
Voila comment maintenant je suis passé de couturier de ses dames à la cour du Roy, et que je suis devenu un guerrier aguerri portant le noble et fier nom de « Altahir ». Depuis ce jour avec mes amis, nous combattons fièrement sous la bannière des Naheulbeuk, toutes les tributs de ce vaste monde faisant encore allégeance au Roy lich.
Pour ceux qui me connaissaient avant, je m’appelais Jan Pool Gortier, p’tit tailleur de l’Alliance. J’avais une échoppe dans le quartier commerçant de la vielle ville de Hurlevent, elle n’était pas bien grande mais me suffisait à payer la dîme à notre Roy « Varian Wrynn le bien aimer ».
Et puis un jour, j’ai vu débarquer dans mon échoppe, deux aventuriers bien mal attifé, toutes armes dehors et beuglant comme des Taurens en rut, et avec un langage hoo, que n’ose point vous relater, et par ma foi saoul comme cochon. Il me sembla qu’ils sortaient tout de go de la taverne du Cochon Siffleur, j’en veux pour preuve cette odeur nauséabonde de bourbon et d’hydromel qui empestait à chaque fois qu’ils ouvraient la bouche.
L’un était petit et costaud portant le nom de «Torgadon » mais à son allure on aurais dit qu’il était né dans un tonneau, un paladin, avec une armure rouillée par endroit, que l’on eut dit qu’il eut fallut un ouvre boite pour l’en sortir, il avait même un épée qui était plus grande que lui.
Quand à l’autre un chevalier de la mord du nom de «Bâm » plus large que grand dans son armure rutilante de guerrier, il m’a semblé qu’il nous venait du nord avec son accent très prononcé et sa voix froide et caverneuse, qu’on aurait dit qu’il était né dans un cimetière.
Le plus petit me dit d’un air renfrogné :
- « hola maître cousette, d’un tabard nous avons besoin, mais attention à prendre soins de bien y mettre les deux chopes que mon compère et moi-même avons en mains, sinon je ne donne point cher de tes abats et sers nous ta meilleur bière »
Quand à l’autre il m’a parlé mais n’es rien compris. Est-ce son accent, sa langue, ou je ne sais quoi, vu qu’il grommelait sans cesse des choses dont je ne comprenais pas le sens, et si comprises je n’oserais pas vous répéter.
Mes seigneurs de bière je n’ai point, mais du lait de chèvre au Tabasco, que mon ami Drakorne m’a ramené des îles lointaines de Brumes Sang. A ces mots leur rages se fit sentir et ils devinrent tout deux si menaçant que je du m’exécuter sur le champ, laissant mon travail en cour, et prenant mes aiguilles je me mis a l’ouvrage. Pendant ce temps nos deux compères étaient repartis boire quelques pintes à l’auberge du Cochon Siffleur, et sûrement par la même draguer la fille de notre aubergiste, la belle rouquine Elly Langston, dont notre nabot avait parlé.
Quand ils revinrent, plus saoul que jamais, j’ai eu du mal à les comprendre tant les phases étaient ponctuées de « she et hips ». La peur au ventre et après plusieurs lampées de lait de chèvre Tabasco, je leurs présentais donc mon travail, ils se regardèrent et avec un petit sourire bien malicieux me dire :
- « Maître cousette votre travail nous plait, nous allons faire diligence auprès de nos maîtresses, nous souhaiterions que vous nous suiviez, nous avons besoin d’un artisan de votre valeur au sein de notre guilde, mais de grâce changer ce nom, nous ne sommes pas des tafioles. »
Voila comment maintenant je suis passé de couturier de ses dames à la cour du Roy, et que je suis devenu un guerrier aguerri portant le noble et fier nom de « Altahir ». Depuis ce jour avec mes amis, nous combattons fièrement sous la bannière des Naheulbeuk, toutes les tributs de ce vaste monde faisant encore allégeance au Roy lich.
darkull- Maitre de Guilde
- Messages : 32
Date d'inscription : 05/05/2009
Age : 62
Localisation : Perpignan
Re: l'histoire de altahir
Oh !!! Jan Poul !!!! GG bien marante ^^
Bam- LE FLOODEUR FOU !!
- Messages : 76
Date d'inscription : 06/05/2009
Age : 31
Localisation : Besançon
Re: l'histoire de altahir
Et voila comment le seigneurs Altahir rejoint notre guilde adoré^^ un gros GG
Re: l'histoire de altahir
GG altahir, sympa ton histoire Avec nos deux compères et leur chopine^^ mdr
farioli- Maitre de Guilde
- Messages : 18
Date d'inscription : 05/05/2009
Age : 42
Localisation : arras
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|